Malgré leur importance, les TPME sont toujours confrontées à des obstacles divers tels que les ressources limitées, les contraintes réglementaires et les difficultés d'accès au financement. Dans ce contexte, Mohammed Benchakrou qui a pris part à la 3ème édition du Congrès "Digital Now" plaide en faveur d'un cadre réglementaire et d'un soutien financier mieux adaptés à leur réalité, en particulier les plus fragiles.
Selon lui, la réalité révèle que bien que de nombreux porteurs de projets aient obtenu des financements dans le cadre de programmes gouvernementaux, notamment « Intilaka », « La majorité n'a pas abouti à la création d'emplois ni à une contribution significative au développement économique de la nation ». Afin d'améliorer la réussite de cette démarche, il insiste sur la nécessité d’assurer une sélection plus rigoureuse des projets dans le cadre des initiatives de financement et d’accompagnement dédiées aux porteurs de projets.
En matière de suivi, Il serait bénéfique, selon lui, d'organiser des réunions périodiques pour évaluer l'état d'avancement des différents projets, permettant ainsi aux banques de fournir des orientations et des conseils avisés et sur mesure.
Mohammed Benchakroun estime, par ailleurs, que l'aspect conseil et formation devrait être davantage valorisé, nécessitant une formation approfondie des formateurs et des parties prenantes impliquées dans l'évaluation des projets.
Il est aussi souligné qu'une prise de conscience significative a eu lieu, entraînant le lancement de réformes rigoureuses. Toutefois, pour garantir un accompagnement efficace des TPME, il est impératif de mettre en place un cadre réglementaire, législatif et fiscal plus adapté aux besoins de ces structures.
« Bien que le statut d'auto-entrepreneur soit une initiative louable, sa limitation à 200 000 DH par an est perçue comme une option défavorable », estime t-il. Afin de favoriser le développement des TPME, il est donc essentiel de repenser un cadre réglementaire plus souple, permettant le recrutement d'employés sans contraintes financières.
Par ailleurs, la lutte contre l'économie informelle, un défi majeur au Maroc, nécessite une plus grande transparence dans l'accès aux marchés publics et une amélioration de la méritocratie. Il précise donc que, malgré les efforts, l'accès à ces marchés demeure souvent compliqué. Ce qui pourrait conduire les TPME à se replier sur l'économie informelle, une alternative par défaut en l'absence de choix viables, conclut-il.
Selon lui, la réalité révèle que bien que de nombreux porteurs de projets aient obtenu des financements dans le cadre de programmes gouvernementaux, notamment « Intilaka », « La majorité n'a pas abouti à la création d'emplois ni à une contribution significative au développement économique de la nation ». Afin d'améliorer la réussite de cette démarche, il insiste sur la nécessité d’assurer une sélection plus rigoureuse des projets dans le cadre des initiatives de financement et d’accompagnement dédiées aux porteurs de projets.
En matière de suivi, Il serait bénéfique, selon lui, d'organiser des réunions périodiques pour évaluer l'état d'avancement des différents projets, permettant ainsi aux banques de fournir des orientations et des conseils avisés et sur mesure.
Mohammed Benchakroun estime, par ailleurs, que l'aspect conseil et formation devrait être davantage valorisé, nécessitant une formation approfondie des formateurs et des parties prenantes impliquées dans l'évaluation des projets.
Il est aussi souligné qu'une prise de conscience significative a eu lieu, entraînant le lancement de réformes rigoureuses. Toutefois, pour garantir un accompagnement efficace des TPME, il est impératif de mettre en place un cadre réglementaire, législatif et fiscal plus adapté aux besoins de ces structures.
« Bien que le statut d'auto-entrepreneur soit une initiative louable, sa limitation à 200 000 DH par an est perçue comme une option défavorable », estime t-il. Afin de favoriser le développement des TPME, il est donc essentiel de repenser un cadre réglementaire plus souple, permettant le recrutement d'employés sans contraintes financières.
Par ailleurs, la lutte contre l'économie informelle, un défi majeur au Maroc, nécessite une plus grande transparence dans l'accès aux marchés publics et une amélioration de la méritocratie. Il précise donc que, malgré les efforts, l'accès à ces marchés demeure souvent compliqué. Ce qui pourrait conduire les TPME à se replier sur l'économie informelle, une alternative par défaut en l'absence de choix viables, conclut-il.